Castel Orilla

Rejoignez l'université du Castel Orilla, sur les rives du lac Titicaca en plein coeur de la cordillère des Andes et découvrez les racines de la sorcellerie
 

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Gabriel L. d'Heur ⌂ La réussite est l'insolence d'un jour -VALIDEE

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Gabriel L. d'Heur


Gabriel L. d'Heur

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MessageSujet: Gabriel L. d'Heur ⌂ La réussite est l'insolence d'un jour -VALIDEE Gabriel L. d'Heur ⌂ La réussite est l'insolence d'un jour -VALIDEE Icon_minitime1Sam 21 Jan - 11:15

PAPIERS S'IL VOUS PLAIT

Nom : d'Heur, nom qui révèle ses origines... une sorcière française du 16ème siècle extrêmement réputée, ancêtre aux pouvoirs inquiétants, et au caractère effrayant
Prénom : Gabriel, Léo ; la gueule d'un ange et la puissance d'un lion
Âge, année : 21 ans, 4ème année
Lieu de naissance : Bordeaux, France
Date de naissance : 21 septembre 1990
Don (avantages, inconvénients) : Passe-muraille ; il a la capacité de transformer la consistance de son corps pour passer au travers des autres corps (objets, personnes). Il maîtrise parfaitement la traversée de matières (cloisons, murs, métaux, bois, sols). Il commence à maîtriser la traversée d'objets mouvants et rapides (balles, armes, objets lancés). Il ne maîtrise pas la traversée d'êtres vivants (tels que les animaux et les humains). Avantages: il n'a pas à faire face à sa claustrophobie, et on ne peut pas l'enfermer (sauf son père, qui vient d'inventer une nouvelle matière qu'il n'arrive pas à traverser). Inconvénients: s'il ne sent rien lorsqu'il passe au travers d'un corps, son corps est pourtant douloureux après, car les transformations sont pénibles pour la chair, les muscles et les os; il a besoin de faire énormément de sport pour ne pas avoir de problèmes de fractures, ruptures de ligaments, entorses... L'idéal serait qu'il s'échauffe avant d'utiliser son pouvoir. Pas toujours évident!
Matières optionnelles choisies : Droits, Economie, Combat
Ombres ou Lumière? : Ombres, pour le moment en tout cas


RETOUR VERS LE PASSE




Ce passé, je veux l’oublier.

Je naquis dans un château viticole, au cœur du vignoble bordelais, le jour où les vendanges commençaient. Si ma mère considéra mon arrivée comme un heureux présage, mon père la prit comme un événement causant des pertes de temps inutiles. Il ne vint pas soutenir ma mère au moment de l’accouchement, il avait d’autres priorités. Cet homme avait toujours été pressé par le temps… c’était d’ailleurs incompréhensible, son don étant de se déplacer à une vitesse fulgurante. Les gens n’en ont jamais assez. Ils veulent toujours plus. L’accouchement se déroula donc dans une pièce mal éclairée, au deuxième étage, en présence d’une sage-femme et de deux domestiques. Ma mère n’eut pas à connaître une quelconque difficulté. En effet, elle est passe-muraille. On imagine avec quelle aisance elle m’avait mis au monde, moi son seul enfant. Un fils. La nouvelle se répandit comme une traînée de poudre, et parvint jusqu’aux oreilles de mon père. Son cœur et ses yeux restèrent secs.

Mes six premières années se déroulèrent d’une bien étrange façon. Je ne rencontrai mon père qu’au cours des repas, et celui-ci ne m’adressa la parole que pour me reprocher mon attitude, mon silence, mon bavardage, ma posture, mon regard, ma curiosité, mon absence d’intérêt… Je n’avais de cesse de changer de comportement pour plaire à cet homme qui était respecté de tous dans la propriété. Mais je n’y parvenais jamais, chacune de mes tentatives se terminant dans un douloureux échec. Après avoir tenté de lui plaire, je m’échinai à le contrarier davantage. Au moins, quand je faisais mal quelque chose, c'est-à-dire la plupart du temps, je semblais exister à ses yeux… Aussi fis-je tout ce qui était en mon pouvoir pour exister. Je n’avais pas conscience de creuser là un fossé qui nous séparerait à jamais, mon père et moi. Je ne me rendais pas plus compte que je brisai les liens qui unissaient ma mère et mon père depuis si longtemps alors. Par mon existence, je finis par conduire mes parents à la séparation.

Ma mère fut répudiée, et mon père lui refusa le droit de m’emmener avec elle. Je ne comprends toujours pas aujourd’hui pourquoi. Cet homme m’en a toujours voulu pour une raison que j’ignore encore, et il a pourtant tout fait pour que je reste à son côté, quand il chassait ma mère du domaine. Si je l’avais suivie… peut-être que tout aurait été différent. Mais on m’avait prié de rester dans ma chambre. Quand j’en sortis, en fin de journée, il n’y avait plus trace dans le château du passage de ma mère. Rien qui pouvait me rappeler que j’en avais eu une. Ce soir-là, mon père m’adressa la parole d’une façon nouvelle… il me parla de sa vigne, de ses projets, de ses partenaires, de sa journée, de sa réussite, de ses doutes… à moi, petit garçon d’à peine six ans, qui n’entendait pas grand-chose à ces histoires. Ce que je comprenais en revanche, c’est qu’il me parlait comme si j’avais de l’importance. C’était la première fois.

Peu de temps après, je quittai la France pour rejoindre ma première école au Vietnam. Je n’aurai de cesse, tout au long de ma scolarité, de donner le meilleur de moi-même pour plaire à cet homme. J’avais envie qu’il me parle à nouveau de cette façon, qu’il me considère. J’avais un grand besoin de reconnaissance… mais il ne me l’accorderait plus jamais. Moi absent, ma mère partie, il se retrouvait seul le soir à table. Je pense que pareille solitude le noircit, le rongea. Pour faire de lui l’homme qu’il est devenu. Méchant, sombre, insipide, détestable. Mais surtout, prêt à tout pour me faire payer chacune de mes absences. A mes retours d’école, je pris l’habitude de craindre ses mains. Au début, je pleurais… j’avais peur, j’avais mal. Mais ses mains se montraient alors plus effrayantes encore. Alors, j’appris à encaisser sans mot dire. Lorsque les vacances arrivaient, je me préparais à me taire.

En grandissant, la peur de ses mains s’estompa. Lorsque je devins adolescent, il n’y eut d’ailleurs plus de raison de craindre ses mains. J’étais devenu plus grand que lui, et je commençais à devenir plus fort. L’idée de me rebeller ne me serait jamais venue à l’idée, cependant. Mais il devait se méfier du jeune homme que j’étais en train de devenir. Aussi chercha-t-il un autre moyen de me faire payer ces longs mois de solitude et d’amertume. Peut-être voulait-il également me punir de ressembler autant à ma mère, et de lui renvoyer à chaque instant l’image de cette femme qu’il avait trop aimée. Il chercha à m’enfermer. Peine perdue, étant donné que j’avais développé le même don que ma mère. Pourtant, il n’abandonna pas, et finit par trouver un jour le moyen de m’isoler dans un endroit, sans que je puisse en sortir. Il fabriqua un caisson à triple paroi, dans une matière qui m’est toujours inconnue. Je ne me suis jamais trouvé aussi désemparé… une fois coincé à l’intérieur, je ne pouvais pas m’en échapper. C’était la première fois que mon don était mis en échec face à un mur…J’ai passé des heures enfermé dans cet endroit…

De longues années sans amour avaient fait de moi quelqu’un d’amer et d’insipide. Sans m’en rendre compte, je ressemblais probablement à cet homme, à ce père, qui m’avait fait payer tant de choses. Aussi, quand j’arrivai au Castel Orilla, j’avais acquis le même statut que mon père en sa demeure. J’inquiétais les gens, je leur faisais un peu peur, mon regard les incitait à s’éloigner, à se taire ou à me plaire, et cette crainte que je provoquais amenait les autres étudiants à me respecter. Je n’avais pas voulu ça, et pourtant, je l’étais devenu. C’est d’ailleurs parce que j’étais maintenant quelqu’un de froid, de dur, que des sorciers m’abordèrent pour que je rejoigne leur cause. Ils se faisaient appeler les Ombres. Un homme me parla de longues heures, tandis que les autres veillaient à ce que personne du Castel n’apparaisse et vienne contrecarrer leur affaire. Cet homme avait probablement senti mon cœur coléreux et vengeur. Il me proposa de me joindre à leur cause, en me manipulant. Il me laissa entendre que je ne serais jamais plus humilié comme je l’avais été, que je prendrais là une belle revanche en m’asseyant sur le trône des maîtres du monde.

Cela fait maintenant quatre ans que je suis au Castel Orilla. Si je semble toujours aussi froid et détestable, certaines choses ont changé en moi. Derrière l’amertume, la colère, la haine, la rage, la vengeance, la sécheresse, une petite brèche a laissé place à un peu de lumière. Il n’y avait qu’une rencontre pour me mener hors des chemins tortueux et dangereux… Elle. Cependant, rien n’est encore gagné. Parce qu’Elle est présente sans cesse dans mon esprit et dans mon cœur, je commence à remettre certaines choses en question. J’ai des doutes, des craintes. Je ne sais plus où je vais, vers quoi je me dirige. Quand je croise un Ombre, je cherche à savoir si c’est vraiment ce que l’on doit faire, si notre cause est réellement juste. Finalement, cela fait quelque temps que je m’interroge, pour savoir si je souhaite prendre ma revanche sur mon passé. Je me demande si c’est toujours cela que je veux. Et une idée naît peu à peu dans mon esprit.

Ce passé, je veux l’oublier.


TRAITS DE CARACTERE




Gabriel a peut-être une gueule d’ange… mais il n’en a que le visage alors. Parce que quand on creuse le personnage, charmant, courtois, poli et séduisant, on réalise vite qu’on a affaire à quelqu’un de dangereux… Ce jeune homme est dévoré par l’ambition. Sa soif d’indépendance, sa fierté et son exigence sont autant de caractéristiques qui le poussent vers la perfection. Méticuleux, à tel point que c’en devient excessif, il est un de ces éternels insatisfaits que l’excellence indiffère. Il veut atteindre plus. Cette volonté d’aller toujours plus haut pourrait être saluée par ses semblables. Mais il est beaucoup trop effrayant. C’est un garçon instable, coléreux. Même s’il appréciait quelqu’un, il serait capable de lui faire du mal. Ceci dit, il n’est pas de ceux qui se risquent à aimer. Son cœur est trop sec, trop froid. Les sentiments, il les tourne en dérision. Ses opinions sont dirigées par un cynisme inquiétant pour un si jeune homme. Mais c’est ainsi… A cause de sa vie, il est devenu trop méfiant, trop désabusé, il ne peut plus croire à la bonté de l’humanité. Ces filles qui roucoulent, il les ignore, elles l’agacent, il les prend, et puis les jette. Oh, bien sûr, on le voit régulièrement entouré de personnes de différents genres. Il y a ceux qu’il attire, parce qu’il est influent et respecté dans l’université. Il y a ceux qui l’attirent, parce qu’il est fin stratège et qu’il souhaite parvenir à ses fins. Et on imagine aisément qu’il y parviendra ! Ce type, c’est un rusé… un malin… il saura toujours comment s’y prendre pour réussir. Et puis, il faut lui reconnaître une telle ténacité. Il n’abandonne jamais, il se démène comme un beau diable, et ce jusqu’au bout. Avoir autant de volonté… c’est proprement hallucinant. Même acculé et la mort proche, il continuera de vouloir arracher sa victoire. Pas un courageux, mais un téméraire. Un fou furieux qui ne craint rien, et c’est sans doute cela qui le rend si dangereux. Il n’a pas peur. Tout cela est inquiétant, terrifiant, quand on sait de quel côté il se range. Mais fort heureusement, c’est un indépendant, qui ne se laissera pas aveugler par les désirs de personnages plus sombres. Gabriel veut tirer les cartes et avoir carré d’as. Il sera le maître du jeu, et personne d’autre. Gare à ceux qui songeraient à lui mettre des bâtons dans les roues… Il pourrait devenir foncièrement méchant.

Pourtant… on a du mal à croire qu’un tel personnage puisse vivre derrière cette gueule d’ange. Et même quand on connaît l’histoire du petit garçon qu’il a été… c’est difficile d’imaginer qu’il soit devenu si semblable à son père et si différent de sa mère en grandissant. Peut-être que tout ceci n’est en réalité qu’une façade… peut-être qu’il y a du bon en ce jeune homme. Sûrement, d’ailleurs, parce que les sorciers qui sont à l’origine des quatre Ecoles tendaient à croire à la profondeur d’âme qui anime l’humanité. Il y a du bon en chacun d’eux. Alors… qui est vraiment ce garçon qui semble davantage paumé que mauvais ? Qui parviendra à révéler le cœur de Gabriel Léo d’Heur, sans qu’il n’y prenne garde ?


PHYSIQUE ET ALLURE




Beau ? J’en sais rien, je me décrirais pas comme ça. Pour moi, la beauté c’est quelque chose de trop irréel, trop personnel, trop subjectif… trop quoi. Je ne suis pas capable de vous dire si un mec est beau, alors vous dire si moi je le suis. Non, ce que je sais, c’est que je n’ai aucune difficulté pour charmer. Après, si ça veut dire que je suis beau, je ne crois pas. Sérieusement, ce n’est pas une question de physique brut. Ce serait plutôt un petit quelque chose dans l’attitude. Quoi exactement ? Je sais pas… En fait si… Ce doit être mon regard. Oh non, pas la couleur ! Non, ce qu’il exprime, ce qu’il reflète. Un petit truc inquiétant et mystérieux. Et on sait tous que ce ne sont pas les gentils garçons bien aimables et bien rangés qui attirent la gente féminine. D’ailleurs, je ne comprends pas, mais bref, qu’importe. Pas que mon regard non, ma bouche aussi. Oui, ça peut paraître stupide, mais j’ai des traits plutôt fins, et le fait que je ne souris que rarement de façon sincère… un sourire sincère, ça doit faire bondir les cœurs. Ouais, ok, ce n’est pas ça qui les fait bondir souvent, dans mon cas. J’ai de belles dents. Ouais, ça compense la sincérité. Non, mes sourires ne sont pas franchement chaleureux. Je dirais plutôt qu’ils sont… narquois. Pardon ? Une petite fossette quand je souris ? J’en sais fichtrement rien, je ne me regarde jamais dans la glace. Vous ne me croyez pas ? Mais je me contrefiche de ce que vous pensez ! Pardon ? Ah, je ne suis absolument pas vexé. C’est vous qui passez pour des crétins, mon intégrité est préservée. Alors aucune raison d’être vexé. Bon, sur ce… je vais y aller. Oh, et désolé de ne pas avoir besoin de regarder ma tronche tous les matins dans un miroir. Mais j’ai appris une histoire quand j’étais tout petit. Narcisse, un type un peu niais amoureux de son reflet. Vous devriez vous informer. Peut-être que vous arrêterez de vous contempler, après ça !


MODELE DE RP




« Rentre là-dedans. »

Je lui jetai un regard incrédule. Se moquait-il de moi ? Il essayait depuis des années. Ça n’avait jamais marché. A chacune de ses tentatives, je l’avais ridiculisé en sortant en moins de dix minutes. Il connaissait pourtant mes capacités. Pourquoi s’entêtait-il ainsi ? Quel était son but ? Haussant les épaules, jetant un regard narquois à cet homme, et un petit sourire moqueur sur les lèvres, j’entrais dans sa grosse boîte. Il s’empressa de la refermer, la verrouillant à une vitesse fulgurante, et quitta probablement la pièce en courant. Mon père n’avait jamais vraiment su faire autre chose que courir. J’attendis quelques minutes, riant intérieurement. Tout ce cirque était ridicule. Depuis qu’il avait cessé les coups, il cherchait un nouveau moyen de me punir. Pour quelle raison devais-je subir ses sanctions humiliantes, pas la moindre idée. Il m’en voulait, clairement, mais pourquoi, je n’aurais pas su l’expliquer.

Après avoir attendu suffisamment longtemps pour qu’il ait quitté le château, je me levai. Il était difficile de tenir debout dans sa grosse boîte. Pas le top du confort, quoi… Enfin, peu importe, je serai dehors en moins de dix minutes, comme d’habitude. Je fermai les yeux l’espace d’un instant, je tendis la main vers la paroi et… rien. Fronçant les sourcils, j’ouvrai les yeux. Mes mains coururent rapidement sur la paroi, à la recherche d’un détail que je n’aurais pas remarqué auparavant. Ce qui était absurde, cependant. J’avais du m’égarer alors que je tentai de me concentrer. A nouveau, mes paupières s’abaissèrent, et ma main se dirigea vers la paroi. Sereinement, j’avançai tout mon corps, mais je me cognai contre la paroi. A nouveau, j’ouvris les yeux, et mes mains cherchèrent à comprendre en parcourant la paroi. Impossible… Comment avait-il pu réussir un tel tour de… Impossible. C’était tout bonnement impossible ! Je ne pouvais être stoppé par aucune surface. Aucune !

Malgré moi, je commençais à paniquer. Mon cœur s’emballait tandis que mes mains s’affolaient. Je n’avais jamais été confronté à un tel échec. J’étais incapable de sortir. Tout tournait trop vite dans mon esprit. Je revoyais le visage serein de mon père tandis que je pénétrais dans sa boîte. Je voyais son sourire sadique alors que… non, c’était moi qui avais souri ! Il n’avait pas… J’avais imaginé ce sourire ? Ou bien… Comment pouvait-il être aussi sûr ? Mais… Pourquoi étais-je bloqué ?! Un passe-muraille, par principe, ça traverse les parois ! J’étais définitivement paniqué. J’étais enfermé dans une boîte ! Bloqué, coincé, cloîtré ! Non ! Je ne pouvais pas rester là ! J’allais manquer d’oxygène. Ce vieux fou allait me laisser crever là ! Envahi par la peur, transformé par la frayeur, je me mis à tambouriner contre la paroi. Je tapais violemment, et pour la première fois de ma vie, je sentais la douleur de cogner dans un mur. Je frappai, encore, encore, et encore. Je m’essoufflais mais je ne pouvais pas m’arrêter de frapper.

Combien de temps avait passé ? J’étais épuisé, j’avais du mal à respirer, j’hurlais mais ce n’était qu’un son inaudible qui s’échappait de ma gorge. J’étais paniqué, mort de peur, et j’étais bloqué là. Personne ne semblait m’entendre, personne ne pouvait m’aider. Mes poings cognaient encore la paroi, mais faiblement. Je ne pouvais pas m’en rendre compte dans la pénombre, et j’étais trop étourdi pour m’en apercevoir, mais j’avais les mains en sang. Au bout de longues heures, enfin je crois, quelqu’un finit par ouvrir. La lumière m’aveugla d’abord, puis ce fut le sourire de mon père. Pire qu’une claque. Pire que toutes les claques. Ce sourire… Mon regard morne glissa alors sur un détail qui m’acheva. La chaise. Cet enfoiré avait passé tout son temps devant la boîte… à se délecter de mon échec…



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Professeur T. McLean
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MessageSujet: Re: Gabriel L. d'Heur ⌂ La réussite est l'insolence d'un jour -VALIDEE Gabriel L. d'Heur ⌂ La réussite est l'insolence d'un jour -VALIDEE Icon_minitime1Sam 21 Jan - 11:35

BIENVENUE moi-même Cool
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Claire M. Birley


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MessageSujet: Re: Gabriel L. d'Heur ⌂ La réussite est l'insolence d'un jour -VALIDEE Gabriel L. d'Heur ⌂ La réussite est l'insolence d'un jour -VALIDEE Icon_minitime1Sam 21 Jan - 12:48

Welcome ;D (est-ce utile de te souhaiter la bienvenue? Rolling Eyes )
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Alix G.C. Depierre
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MessageSujet: Re: Gabriel L. d'Heur ⌂ La réussite est l'insolence d'un jour -VALIDEE Gabriel L. d'Heur ⌂ La réussite est l'insolence d'un jour -VALIDEE Icon_minitime1Sam 21 Jan - 17:50

Bienvenue Gabriel L. d'Heur ⌂ La réussite est l'insolence d'un jour -VALIDEE 3036192263
Faut que je sorte Abi, parce que là Gabriel L. d'Heur ⌂ La réussite est l'insolence d'un jour -VALIDEE 738431593

(han, comment qu'elle s'auto-accueil Suspect
dit celle qui s'est auto-validée What a Face )
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Gabriel L. d'Heur


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MessageSujet: Re: Gabriel L. d'Heur ⌂ La réussite est l'insolence d'un jour -VALIDEE Gabriel L. d'Heur ⌂ La réussite est l'insolence d'un jour -VALIDEE Icon_minitime1Lun 23 Jan - 19:30

Fiche terminée cheers
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MessageSujet: Re: Gabriel L. d'Heur ⌂ La réussite est l'insolence d'un jour -VALIDEE Gabriel L. d'Heur ⌂ La réussite est l'insolence d'un jour -VALIDEE Icon_minitime1Lun 23 Jan - 19:59

Citation :
Le professeur Gottman observait le jeune homme, agenouillé, la main sur le crâne de cristal. Lorsque le regard de Gabriel Léo d'Heur croisa les pierres précieuses, celles-ci se mirent à scintiller…

Gabriel L. d'Heur ⌂ La réussite est l'insolence d'un jour -VALIDEE Inv_misc_gem_sapphire_02

Les saphirs des Condors… pour l'ambition démesurée, l'arrogance, la ruse et l'indépendance…

Et maintenant que tu es validé, il ne te reste plus qu'à :
- attacher dans ta signature le symbole de ta communauté (le saphir ci-dessus)
- filer lire le règlement intérieur du Castel : ce sera par ici
- créer ta fiche de liens, pour nouer des relations avec les autres étudiants : ce sera par là!

L'équipe te souhaite un merveilleux voyage dans la Cordillère des Andes !
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