Professeur T. McLean Admin BG ♣
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Date d'inscription : 17/01/2012
 |  Sujet: Thomas McLean ► Appelez-moi "Professeur" - VALIDE  Jeu 19 Jan - 20:40 | |
|  PAPIERS S'IL VOUS PLAIT Nom : McLean, puisque descendant du clan McLean dont les membres ont principalement été connus pour leur force et leur courage!
Prénom : Thomas, Drew, Richard (et je vous épargne les autres, puisque l’administration britannique a refusé de les mettre sur les papiers… et pourtant, ma mère est plutôt douée dans l’art de la manipulation…)
Âge : je ne suis pas certain de vouloir vous le dire… bon d’accord… 31 ans… et non, je ne me fais pas vieux, je suis en pleine force de l’âge ! et puis, avouez... les filles apprécient les gens expérimentés...
Lieu de naissance : né dans un immense manoir, perdu en plein cœur des Highlands, en Ecosse
Date de naissance : né le 5 août 1980, alors que le ciel était sombre et qu'il pleuvait à torrent, en plein été!
Don (avantages, inconvénients) : Chronokinésiste, je suis capable de contrôler l'écoulement du temps; passer en mode avance rapide, rembobiner les scènes, mettre sur pause, rappuyer sur play... ce don ne me permet pourtant pas de voyager dans le temps (ma capacité à revenir en arrière est limitée à une semaine); le gros avantage de ce don, c'est qu'aucun autre protagoniste que moi ne se rend compte du temps truqué (imaginez le pognon gagné au poker! ah hem...).
Matière enseignée : l’Histoire ! quelle noble et prestigieuse matière que celle-ci ! à ceux qui me disent que ma matière ne sert à rien, je réponds que sans Histoire, rien n'existe; vos sports, vos sciences, vos arts... tous ne découlent que de notre Histoire ! c'est une passion que je parviendrai à vous communiquer, parole de prof !
Ombres ou Lumière? : Lumière ! Manquerait plus que ces satanés illuminés s’infiltrent dans le corps professoral de cette somptueuse et grandiose université ! Croyez-moi, il ne fait pas bon être un Ombre de nos jours… Parce que Thomas McLean est aux commandes (ou presque) ! RETOUR VERS LE PASSE  Ok, on va démarrer après Prague, si ça dérange personne. Tout ce qu’il s’est passé avant, à vrai dire, n’a pas grand intérêt. Je suis né dans une famille où l’on ignore que l’argent ne fait pas le bonheur, où l’on est persuadé de la grandeur d’un nom. Les McLean ne sont pas n’importe qui, n’épousent pas n’importe qui, n’enfantent pas n’importe qui… Bref, les McLean sont des gens de là-haut quoi… Alors ça n’intéresse personne. L’argent, la gloire, le contrôle, le pouvoir… tout ce que tout le monde désire, mais absolument pas ce que tout le monde veut entendre raconter.
Direction Kampala. Les premières passions, les premières amours, les premières expériences de la vie… Le Castel Strand en aura connu des vertes et des pas mûres ! C’était le temps des idéaux, des convictions, des engagements. Ces grands moments où on dit « merde » aux adultes et à leurs ambitions. Enfin, peut-être que tout le monde ne fait pas ça. C’est ce que j’ai fait moi… j’ai dit « merde » à cet homme qui revendiquait autorité paternelle et pouvoir de décision… à cet homme qui voulait tracer mon avenir sans ma permission. Non mais sérieusement, vous me voyez faire de la politique et prôner l’ultra libéralisme ? Cet homme, que je rechigne à qualifier de père, était persuadé qu’une telle action menée dans les pays les plus influents conduirait les « simples humains » à leur perte. Dans quel but, me direz-vous ? Quelle question ! Les asservir, bien sûr… Oui, je n’en suis pas fier, mais je suis le fils d’un Ombre. Peut-être de deux, j’ignore où se trouve ma mère, si elle est encore en vie, si elle œuvre pour mon père, si elle l’a quitté… Je préfère ne pas savoir, en fait. Autant dire qu’à partir du jour où j’ai appris que cet homme était des leurs, j’ai claqué la porte et je suis parti. J’avais seize ans à l’époque, et je n’avais pas réalisé que vivoter dans la rue ne serait pas d’une facilité déconcertante. Heureusement qu’il y avait les études. Ça ne me laissait que les vacances pour sillonner les rues et dormir sur les pavés. Je ne regrette pas… je pense que c’était le meilleur choix à faire. Bien sûr, je ne dis pas que je n’ai jamais songé à retourner chez lui. Quand l’établissement ferme pour les fêtes de Noël, que vous êtes renvoyés dans votre pays, et que vous êtes dehors… croyez-moi, le Royaume-Uni en hiver, ce n’est pas le summum du confort. J’ai eu la chance de côtoyer des gars qu’on appelle marginaux. Ces mecs-là, ils sont formidables, quand on a retiré la première couche. Leur histoire, c’est ce qui m’a toujours le plus touché. Ils ignoraient quel genre de type j’étais, le style fils à papa, né avec une cuillère en platine dans la bouche. Ça ne leur aurait pas plu. Enfin, en y réfléchissant à deux fois… je pense qu’ils le savaient. Ils n’ont jamais posé de question sur mon passé. Sans doute parce qu’ils devinaient que ça ne leur plairait pas. Oui, vraiment, quand j’y repense, ces moments n’ont pas été les plus faciles, mais je les ai beaucoup aimés.
Bref, Kampala. C’est dans cet endroit que j’ai compris que je deviendrais professeur d’Histoire. Cette matière m’avait toujours passionné. J’adorais apprendre ce qui avait fait de nous ce que nous étions alors. Nous, les hommes. Sorciers ou simples humains. C’était enivrant de connaître nos racines, nos débuts, nos découvertes, nos erreurs, nos splendeurs… J’avais toujours envie d’en savoir plus, et je ne tarissais jamais de questions sur nous, nos origines, nos parcours. Les professeurs avaient parfois du mal à répondre à toutes mes interrogations, mais je pense qu’ils aimaient cela. Un élève passionné, c’est toujours glorifiant, et ça donne envie de continuer. Il suffit d’un seul jeune qui accroche, qui s’intéresse, et vous êtes transporté par votre amour de la matière. Je ne sais pas si tous mes collègues pensent la même chose… en tout cas, moi, ça me galvanise. Je n’y peux rien, je suis un amoureux… un amoureux du temps, un amoureux des dates, un amoureux des ères… Peut-être que mon don y est pour quelque chose. Quand j’ai découvert que je pouvais contrôler l’écoulement du temps, j’ai d’abord cru avoir rêvé. Vous savez, cette impression de déjà-vu. Sauf que ce n’était pas une impression. C’était un instant désagréable que j’avais voulu effacé, et j’étais remonté en arrière… de quelques minutes. Quand vous comprenez votre don, que vous vous en saisissez doucement, c’est incroyable. J’avais la sensation de pouvoir faire n’importe quoi, d’être le roi du monde ! C’était dingue. J’ai vite compris que j’avais des limites. A l’époque, je n’étais capable de maîtriser l’écoulement du temps qu’à quelques minutes près. Maintenant, j’arrive à manipuler le temps jusqu’à une semaine, voire dix jours quand je suis en pleine forme. Et je ne cesse de progresser. Honnêtement, quand j’étais à Kampala, j’espérais pouvoir remonter le temps des années, des siècles, des millénaires en arrière. Je sais aujourd’hui que ce ne sera jamais le cas. Je suis chronokinésiste, pas voyageur dans le temps. Je ne connaitrai jamais les héros des aventures que je raconte. Mais j’ai conscience aujourd’hui, à la trentaine passée, que ce n’est pas plus mal. On est souvent déçu par ce qu’on idéalise.
Après Kampala, il y a eu le cheminement logique jusqu’au Castel Orilla, ici même. Les études, avec l’Histoire comme matière principale. Mon projet professionnel était clairement défini, et j’ai eu la chance d’avoir le corps enseignant de mon côté. Ils m’ont soutenu jusqu’au bout, et m’ont même permis de faire mes deux dernières années d’étude à l’étranger, pour mes recherches. J’ai voyagé de nouveau, comme le système d’apprentissage nous invite à le faire. A vingt-cinq ans, j’avais bougé dans de nombreux pays, pour m’enrichir de la culture et de l’Histoire locale. Une démarche d’auto-formation qui a été vivement utilisée par le corps enseignant d’Orilla pour appuyer ma candidature. Il fallait que je devienne professeur, c’était une vocation, et on ne pouvait pas le nier. J’ai entamé ma carrière l’année suivante, à Ho Chi Minh Ville. J’ai ensuite été envoyé à Prague, pour une année, avant de rejoindre Kampala, pour un an également. En 2009, je suis arrivé au Castel Orilla, comme professeur d’Histoire. Ce parcours dans les quatre lieux d’apprentissage de la magie a été une nouvelle occasion pour moi d’apprendre, de me perfectionner, au contact d’éminents professeurs, et d’élèves tellement différents… A la fin de ma première année à Orilla, on m’a demandé de choisir le Castel où je poursuivrais ma carrière. Après une longue hésitation, Kampala ayant fortement marqué ma vie, j’ai tout de même choisi de rester dans les Andes. Je crois que je suis tombé amoureux du cadre, de la région, de ces montagnes et de ce lac… je n’en avais pas vraiment profité, quand j’étais étudiant. Trop absorbé par mes cours, trop plongé dans mes bouquins… et puis, pas réellement au Castel, puisque constamment à droite et à gauche pour mes recherches. Mais maintenant, je prends le temps… je découvre… je savoure… et je m’imprègne de ce que la Cordillère des Andes dégage. Une puissance, une sagesse, une paix.
Voilà… fils orphelin de choix, homme professeur de joie… pour ce qui est de l’époux modèle et du papa parfait, on reviendra. Disons que, de mémoire d’homme, je n’ai pas encore songé à démarrer la situation « métro boulot dodo » avec femme au foyer, mômes à brailler, et chien à gueuler. Je ne suis pas prêt de m’inscrire dans une telle routine. Les demoiselles aux atouts aguichants, sans la perspective d’un enfant, c’est pour le moment tout ce qui m’attire. Voyez, on grandit, on vieillit, mais ce n’est pas pour autant qu’on mûrit ! TRAITS DE CARACTERE  – Sociable ; il dit bonjour à tout le monde, il connaît tout le monde, il apprécie tout le monde ; il se fait des amis n’importe où ; il peut communiquer avec n’importe qui ; il sait briser la glace en toutes circonstances ; il dépasse les codes sociaux et les tenues de convention ; il n’est pas un bonbon dans un emballage ; il est lui-même dans tous les cas ; et les gens adorent ça !
– Insensible ; il ne dit jamais ce qu’il ressent, et c’est parce qu’il ne ressent rien (qui peut croire une idiotie pareille ?!) ; il n’a jamais été amoureux, et il ne peut pas tomber amoureux (quelle ineptie !) ; les insultes et les moqueries glissent sur lui comme le vent (ça, au moins, c’est vrai) ; il se contrefiche de ce que peuvent bien penser les gens de lui, il vit, et c’est ça l’essentiel !
– Patient ; c’est incroyable comme il peut se montrer patient en toutes circonstances… il ne crie jamais, attend toujours avec indifférence, est capable d’expliquer quinze fois la même chose sans s’énerver, et d’ailleurs il ne hurle jamais contre ces andouilles d’automobilistes qui ne savent pas conduire ; il n’est jamais stressé par un retard, il n’est jamais impatient de découvrir quelque chose, il sait que tout arrive à point à qui sait attendre.
– Pragmatique ; terre à terre, devrait-on dire ; un réaliste, parfois désabusé, mais qui ne laisse tout de même pas place au fatalisme dans sa vision des choses et du monde ; seulement, il a étudié suffisamment l’Histoire pour constater que l’univers est réglé par certains événements inconditionnels, intemporels, et qu’on ne change pas le plus profond de l’humanité par des cours…
– Peu influençable ; pour quelqu’un qui a étudié l’Histoire, et qui a donc vu à quel point les hommes peuvent moduler à leur sauce n’importe quel événement, il sait bien qu’on ne peut pas croire tout et n’importe quoi… il s’est forgé son propre esprit critique, ses propres opinions, et on ne peut pas le berner et l’influencer à sa guise ! ce qu’il voudrait, c’est enseigner cela à ses étudiants, qu’eux aussi soient capables de juger par eux-mêmes !
– Pudique ; ooooh, comme c’est attendrissant ! avec un corps pareil, et une bouille d’ange, monsieur est pudique ! il déteste rougir (il a même tendance à figer le temps pour qu’on ne s’en rende pas compte) et il a énormément de mal à se trimballer en petite tenue devant quiconque… il préfère lumière éteinte, et c’est à n’y rien comprendre, parce que franchement, quand on fait tomber la serviette par inadvertance… grrrr !
– Bavard ; mais arrêtez le ! il parle trop, trop trop ! bon d’accord… on n’a jamais vraiment envie de l’interrompre, tellement tout ce qu’il dit a de l’intérêt… et puis, sortant de sa merveilleuse bouche, ça donne même envie d’en entendre davantage ! mais tout de même, quel moulin à paroles !
– Passionné ; quelqu’un n’aime pas l’Histoire ? vous allez changer d’avis ! ce mec est passionnant et passionné ! de toute manière, ça se sent tout de suite… quand on enseigne, il faut aimer ce que l’on enseigne… le charme opère alors de lui-même ! il apporte tellement de détails, tellement d’anecdotes, et raconte les choses avec tellement d’engouement ! non, il n’y aura pas que les filles pour apprécier son cours (son corps) mais il y aura également les messieurs, car ils accorderont un nouveau sens au mot « Histoire ».
– Intelligent ; et ça se lit sur son visage, ça se lit dans son regard… pas professeur pour rien, pourrait-on dire, mais l’ennui c’est que bien souvent les professeurs sont idiots ; non pour lui, il faut davantage s’orienter sur sa vie que sur sa profession, même si l’une a conduit à l’autre ; précoce, vif d’esprit, curieux de tout, passionné, intéressé par tout, beaucoup de voyages à son actif, et puis l’Histoire qui a quand même inondé son esprit de vérités… un esprit brillant !
– Charmant ; mamamiaaaa ! il est à croquer ! et puis, il le sait, il le sent… ce charisme qui se dégage de sa personne, comme s’il était lumineux et envoûtant… on dirait qu’il crie « mangez moi, mangez moi, mangez moi » à chaque pas qu’il fait ! à tomber… on voudrait résister, car on se rend bien compte qu’il est conscient de cela et qu’il en joue… et en même temps, on a juste envie d’avoir la chance de lui tomber dans les bras, ne serait-ce qu’une fois !
– Autoritaire ; quelqu’un avait l’intention de faire le chahut ? loupé ! ce type dégage une sorte d’autorité naturelle, presque effrayante… ça va de paire avec ce charisme fou, et cet air passionné ! on n’a jamais vu bazar dans sa classe, et on ne l’imaginerait même pas ! quand certains songent seulement à faire la fiesta en Histoire, ils se retrouvent à la porte sans comprendre (temps figé, corps déplacé, porte refermée, temps défigé !) ; et voilà tout !
– Coureur de jupons ; vous avez vu sa gueule ? évidemment que c’est un collectionneur ! et que les étudiantes se réjouissent, l’âge lui importe peu… il n’est pas difficile quand il s’agit de vérifier son potentiel séduction (problème pour ces mêmes étudiantes : il le vérifie à longueur de temps, donc surtout ne vous laissez pas envahir par un sentiment douloureux qu’on appelle l’A.) ; à noter que s’il a un certain orgueil à s’amuser avec la jeunesse, il apprécie davantage flirter avec les vraies femmes (les adultes donc) ! PHYSIQUE ET ALLURE 
C’est bien malheureux, mais quand on demande aux filles dans la rue comment elles trouvent cet homme, on entend des « canon », « sexy », « j’aimerais bien voir ce qu’il cache sous sa chemise », « ces fesses ! », « belle gueule »… Voilà à quoi est réduit ce représentant de la gente masculine. Un corps. Pourtant, quand on l’observe, il y a tellement d’autres petites choses qu’il serait bon de remarquer ! La finesse de ses mains, qui révèle la douceur dont il peut faire preuve, et qui laisse à penser que de si jolies mains ne pourraient jamais violenter quiconque. Le reflet lumineux que l’on capte dans son regard, témoin de sa grandeur d’âme et de son véritable fond… comment cet homme qui se réclamait un droit de paternité aurait-il pu salir cette bonté enfouie si profondément ? La façon qu’il a de ne sourire qu’à demi… un sublime sourire qui semble toujours cacher quelque chose… cette aisance à séduire avec un simple sourire… qui suggère une part de sous-entendus et de mystères. Sa démarche… rien qu’à sa démarche, on devine qu’il n’est pas n’importe qui, qu’il ne vient pas de n’importe où, et qu’il n’a pas un rôle sans importance. Dans sa façon de se déplacer, il y a cette majesté et ce charisme qui attirent l’œil, il y a cette classe qui indique (malgré lui) ses origines, et il y a cette fougue qui révèle que c’est un passionné. Mais ce qu’il faut vraiment remarquer… c’est son rire, ou plutôt ses rires… quoi de plus extraordinaire qu’un homme en train de rire ? Le rire est enchanteur, merveilleux, communicatif, original, et extrêmement personnel. Eh bien… tendez l’oreille, guettez le, et attendez…
MODELE DE RP  « Allo ? qui ? non désolé, vous vous êtes trompée de numéro… non je ne suis pas Drew McLean… oui c’est une erreur… puisque je vous dis que vous faites erreur ! mademoiselle, désolé, mais le goujat que vous insultez n’est pas à ce numéro… il a du changer… oui, désolé… je comprends tout à fait, mais c’est une erreur, au revoir... » et il raccroche le portable.
Après un instant à contempler le petit bijou de technologie, il le retourne, enlève la coque, retire la carte SIM, puis s’en débarrasse. C’est devenu difficile de conquérir pour une nuit… elles ont toujours trop tendance à croire qu’avoir un rapport une fois signifie entamer une histoire pour la vie. Est-ce la société qui les rend toutes névrosées, comme ça ?! Il est bien incapable de comprendre, et à vrai dire, il n’a pas l’intention de tergiverser bien longtemps. C’est plus simple de changer de numéro. Ou alors, de jeter le téléphone.
Bien sûr, on pourrait se demander : mais pourquoi donne-t-il son vrai numéro à toutes les filles qu’il rencontre ? La réponse est pourtant évidente ! Si jamais il était tenté de passer une autre nuit avec la même fille… il préfère que ce soit elle qui appelle – lui n’est pas accro, lui ne rappelle pas, jamais – et il se fait plaisir. Si jamais elle ne le recontacte pas ? Oh là ! Pas de panique, il s’en contrefiche, il en trouve à la pelle, des demoiselles ! Goujat ? Certainement. Insensible ? Il le revendique ! Que voulez-vous, c’est ainsi. Il est un peu adulescent, incapable de se poser, un rien instable, et trop amoureux des femmes pour tomber dingue d’une seule. Pardon ? ça changera ? Oh, peut-être un jour. Mais on n’y est pas encore !
Le Don Juan avance sur la rive du lac Titicaca et rejoint la jolie brune qui lui fait signe. « C’était qui ? » demande-t-elle d’une voix qui se veut sensuelle et coquine. « Une erreur. » répond-il de façon plutôt sèche (et malgré cela, sa voix reste follement sexy!), histoire de rappeler à cette jeune femme qu’ils ne sont là que pour le plaisir, et pas pour envisager une quelque durée dans leur relation. Elle hausse les épaules, rejette ses longs cheveux en arrière de façon admirablement sexy, et l’entraîne vers un coin ombragé. Il se laisse à peu près faire, sachant qu’une fois encore, il a gagné.
Pseudo/prénom : Mary, may, ma, mou, mi, meuh... non juste Mary, ça ira!
Age : 21 ans
Avatar : Matthew Bomer
Double compte : Bah nope, c'est la première fiche que je crée ici!
Approbation du règlement : Je l'approuve, je le salue, je le glorifie! Ne le trouvez-vous pas superbe, ce règlement?
Comment as-tu trouvé le forum : Alors l'histoire est très compliquée, mais disons qu'une fondatrice banana split a glissé inopinément le lien de cet endroit merveilleux dans une boîte à blabla... que j'ai malencontreusement cliqué sur ce lien... et TAAAAADAM!
Quelque chose à ajouter? : ...que le RP commence!
Dernière édition par Professeur T. McLean le Jeu 2 Fév - 17:30, édité 29 fois |
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